jeudi 30 août 2012

No easy day

« No easy day » pas de jour facile
Il y’a de cela un an je publiais dans mon bloc cyberculture un article intitulé « OBAMA tua OSSAMA » http://aftidoc.blogspot.com/2011/05/obama-tua-ossama.html.

Je déplorais dans cet article toutes les zones d’ombre qui entouraient la mort de Ben Laden alias GERONIMO. Je terminais cet article par une phrase que j’aime bien « Time will tell ». Le temps semble aujourd’hui vouloir livrer ses secrets.
« No easy day » s’est le livre que compte publier Mark Owen (un pseudonyme) un membre du commando américain qui a exécuté Ben Laden.

Selon l’auteur, contrairement à la version officielle qui affirmait que Ben Laden se trouvait dans sa chambre et qu’il était armé, qu’il avait tiré sur le commando qui a riposté, qu’il s’était réfugié derrière sa servante…Tout ceci n’était qu’une mise en scène du gouvernement américain qui voulait encore se tirer la couverture en justicier du monde.

Owen le deuxième soldat à entrer chez Ben Laden apporte aujourd’hui un démenti : Ben Laden ne se trouvait pas dans sa chambre, il n’était pas armé et il n’a tiré sur personne. Lorsque l’hélico s’est rapproché de la maison de Ben Laden un homme est apparu sur le palier de la maison et le premier soldat à tiré sur lui. Les soldats sont alors entrés dans la maison et ils ont trouvé par terre un homme agonisant, donc sans défense. Ils l’ont achevé d’un coup sur la poitrine avant d’informer leur supérieur…

Voilà ce que révèle pour l’instant le livre d’OWEN qui contredit toutes les contrevérités racontées dans la version officielle du gouvernement américain.

Quelques circonstances de la mort de Ben Laden, la vérité, toute la vérité éclatera un jour…et comment ne pas me répéter.

Time will tell

lundi 7 mai 2012

Sarko : Adieu veau, vache, cochon couvée

2012 disais-je dans un précédent message, c’est l’année des fins de règne et Sarko n’échappa à la règle. Adieu veau, vache, cochon couvée ; c’est la fin de l’illusion et des élucubrations pour Sarko et ses thuriféraires. Fini  l’Elysée, les paillettes, le tapis rouge les sirènes. Même Engie la marraine Merkel n’aura pas su stopper un Franc - soir-d’Hollonde lui le désormais larron baron.
La France a fini de virer à Bâbord et de quelque bord qu’il puisse être Hollande demande à être juger à l’autel de son action pour la justice et pour la jeunesse. Hélas le chantier est beaucoup plus vaste que cela. "Je n’ai qu’un adversaire dans cette campagne, c’est la finance, a-t-il fustigé, la finance folle, la finance qui a soumis l’économie, qui l’a dominée et qui aujourd’hui entrave les peuples." Disait-il, la finance n’est la jeunesse et elle est bien loin de la justice, elle n’est que justesse taillée sur la volonté du plus fort, du plus riche ou du plus influent. Français tu seras alors jugé en fonction du combat que tu auras mené contre ton seul adversaire, cette finance de l’astuce et de la ruse qui domine le monde.  Sauras-tu réellement le vaincre ?
Le combat de la France ressemble fort bien à celui des Sénégal en 2012. L’enjeu au Sénégal  c’était de faire partir Wade et non pas forcément d’élire Macky Sall. Il est resté le même en France on a voté contre Sarkozy pas forcément pour Hollande. Sarko est parti mais la droite n’est pas au sarcophage, bien au contraire elle étend ses ramifications en Europe et la Grèce pays d’origine de Sarkozy en est  la parfaite illustration. Hollande un président par défaut ? Il est certes élu mais sera-t-il vraiment l’« Elu » ? Le temps nous le dira.
Et l’Afrique dans tout ça ?
Je dois m’inquiéter de l’intérêt que nous autres africains portons aux élections en Europe et en Amérique. On a eu envie d’élire OBAMA sans être américain, on a voulu chasser Sarkozy sans être européens. Comme  si l’élection d’OBAMA, le noir américain allait mettre fin à la souffrance des africains. Nous nous enthousiasmons tant du départ de Sarkozy puisque pour nous la droite incarne le mal et le mal vivre de nos frères africains vivant en Occident. N’avons-nous pas tort de nourrir l’espoir d’une renaissance africaine qui viendrait d’OBAMA l’américain ou d’Hollande le français ?
OBAMA est le président des Etats-Unis d’Amérique et sa politique africaine a fini de démontrer que l’Afrique a eu tort de voir en lui un messie noir des temps modernes à la tête de la plus grande puissance mondiale. Et d’ailleurs saura-t-il résister à la grande vérole qui a tué ses semblables (Sarko et Wade)
 Nous ne pouvons pas, non plus, attendre davantage d’Hollande, sinon juste plus de respect et d’humanité envers les minorités, qu’elles soient noirs, arabes musulmanes ou juives.
Pour ce qui est de la Françafrique, « trade, not aid ». L’Afrique n’est pas un boulet pour le monde ; nous ne voulons pas nous accrocher au train de l’occident pour exister. Pas de pitié, que du respect, juste un commerce équitable. Plus de bateaux qui viennent piller nos côtes ; pas d’APE qui ruinent nos paysans pas de main mise sur nos mines, nos ressources humaines et nos chefs d’Etat. Halte à la finance qui gouverne, au monsieur et messie Afrique de l’Elysée.
Juste pour sourire
Nicolas peut bien reprendre ses croisières avec ses amis les Bolloré. Il pourra même inviter ses amis Kadhafi, il n’en reste pas beaucoup d’ailleurs. Il ne manque pas de compagnie d’ailleurs. Carla, la belle bruni a de quoi consoler un roi bon vaincu sans haine. Vas y François les règles du jeu sont fixées qu’on se la joue à la loyale.